Nombre d’enfants
Henri Joseph Adolphe FRADIN de La RENAUDIÈRE et Marie DIGEE n'ont pas de postérité.
Note
Henri Joseph Adolphe FRADIN de La RENAUDIÈRE suit les cours de l'Institut Agronomique de Grignon. Tant que le Pin reste la propriété de sa famille, il y met en application les principes que ses maîtres agronomes lui ont enseignés. Il fait aussi l'élevage de chevaux. Il conclut un échange le 20 juillet 1896 avec son frère Olivier qui lui abandonne la propriété de Cissé (86) contre divers immeubles qui lui appartiennent en propre. Pourtant, il vend Cissé par morceaux à un cultivateur et à la commune qui en fait la mairie et la poste. Dans la cour, on voit encore (en 1955) deux pierres portant les armoiries des Seigneurs de Cissé. Il meurt après une longue maladie qui le tient immobilisé de longs mois. Il passe toute sa vie hostile à toute forme de religion. Le clergé de la paroisse Saint-Porchaire de Poitiers, où il réside, n'ose s'aventurer chez lui. Sa femme non plus n'ose entreprendre une démarche pour faire venir un prètre. Cependant, un prêtre, ami de son frère Léon, vient le visiter et Henri Fradin "ouvrit son âme à Dieu et reçut l'absolution. À partir de ce moment, il devint un malade exemplaire [... ...] et fit une mort véritablement édifiante".