Note
Gabrielle Jeanne MOREAU est qualifiée "Demoiselle". À la fin de sa vie, elle est dite, dans une requête présentée à la mort de son mari, « paralytique, asthmatique et fréquemment attaquée de maladies chroniques ». Les soins exigés par cette santé délicate et, entre autres, un voyage en litière à Paris, avaient épuisé les ressources du ménage et obligé de vendre une partie du mobilier acquis à force d'économies. (D'après R. Couffon, 'La Sculpture au Port de·Brest aux XVIIe et XVIIIe Siècles. Son influence sur l'art breton, in 'Mémoires de la Société d'Émulation des Côtes-du-Nord', 1951).